LES INTERNAUTES SONT SURVEILLES PAR LES GOUVERNEMENTS. EN FRANCE, LA MINISTRE FLEUR PELLERIN N'EST PAS EN RESTE
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LES INTERNAUTES SONT SURVEILLES PAR LES GOUVERNEMENTS. EN FRANCE, LA MINISTRE FLEUR PELLERIN N'EST PAS EN RESTE
LES INTERNAUTES SONT SURVEILLES PAR LES GOUVERNEMENTS
EN FRANCE, LA MINISTRE FLEUR PELLERIN N'EST PAS EN RESTE DE TRAQUE AUX INTERNAUTES ET SAIT PRATIQUER LA LANGUE BOIS
Les infos qui circulent sur le Net ne sont décidément pas du goût des politiciens quand celles-ci les concernent sous les aspects les moins élogieux, ce qui, compte-tenu de leurs agissements, est fréquent. Alors, hors feux de la rampe, ils initient et soutiennent la surveillance des correspondances entre citoyens, autant que la technologie le permet. Mondialement, c'est GOOGLE qui déjà en novembre 2012 déclarait "… des gouvernements ne sont pas favorables à un Net libre et ouvert"… Google s'alarme des vélléités de certains États afin d'accroître le contrôle d’Internet… la rencontre organisée sous l’égide de l'Union internationale des télécommunications (UIT) - institution faisant partie des Nations Unies, n’est autre que la future régulation mondiale d’Internet (1)… (pour plus de détails, voir notre article : La future régulation mondiale du net entre les mains de l'UIT)…
Récemment encore, Google s'inquiète des requêtes gouvernementales (autorités politiques, tribunaux, police,...) dont il est de plus en plus fréquemment saisi. À l’appui des chiffres de son dernier rapport de transparence, le géant de l'internet tente d’alarmer les internautes sur « la manière dont les gouvernements peuvent parfois freiner les flux d’informations qui circulent sur Internet ».
Régulièrement l’objet de requêtes gouvernementales visant au déréférencement de certains contenus ou à la divulgation d’informations concernant ses utilisateurs, Google propose aux internautes de consulter librement depuis 2010 les détails relatifs à ces demandes dont il est saisi. Dans un billet publié hier sur son blog officiel, le géant de l'internet a annoncé que les informations concernant les six premiers mois de l’année 2012 venaient d’être mises en ligne sur sa plateforme dédiée, le Google Transparency Report.".
EN FRANCE, LA MINISTRE FLEUR PELLERIN N'EST PAS EN RESTE DE SURVEILLANCE DES INTERNAUTES:
"Le 22 janvier dernier, la députée écologiste Isabelle Attard interrogeait la ministre déléguée à l’Économie numérique, Fleur Pellerin, sur l’utilisation du Deep Packet Inspection (DPI) par les opérateurs de télécommunications français. L’élue voulait savoir si ces technologies permettant d’analyser finement les paquets transmis au travers des réseaux avaient été étudiées, expérimentées, voire utilisées par des FAI français, et si oui, lesquels. Le gouvernement était au passage sommé de détailler ce qu’il comptait faire pour empêcher ces pratiques, jugées très alarmantes par la parlementaire. « Ces technologies pouvant servir à censurer ou à mettre sous surveillance des citoyens, hors de toute procédure judiciaire, il serait particulièrement dangereux pour notre démocratie que des opérateurs privés les utilisent sur les réseaux français » écrivait ainsi Isabelle Attard…".
"Voilà les deux principales questions auxquelles devait répondre la ministre déléguée à l’Économie numérique, Fleur Pellerin. Cette dernière a cependant botté en touche sur la première, et s'est contentée de dire qu’elle ferait appliquer les lois et dispositions règlementaires actuellement en vigueur sur la seconde.
Sans répondre aux premières interrogations d’Isabelle Attard, la ministre se borne à affirmer que « les pouvoirs publics ne manqueraient pas de saisir les juridictions compétentes » au cas où « des projets ou agissements contrevenant aux dispositions législatives et réglementaires en vigueur étaient portés à leur connaissance ». Un beau geste de la République que de signaler à la justice des faits ou agissements contraires à ses lois... "
Intégralité des articles sur PCinpact vieille informatique et juridique (Xavier Berne, journaliste, spécialisé dans les thématiques juridiques et politiques).
(1) Réunion à Dubaï en décembre dernier, à laquelle Fleur Pellerin participait.
JC
EN FRANCE, LA MINISTRE FLEUR PELLERIN N'EST PAS EN RESTE DE TRAQUE AUX INTERNAUTES ET SAIT PRATIQUER LA LANGUE BOIS
Les infos qui circulent sur le Net ne sont décidément pas du goût des politiciens quand celles-ci les concernent sous les aspects les moins élogieux, ce qui, compte-tenu de leurs agissements, est fréquent. Alors, hors feux de la rampe, ils initient et soutiennent la surveillance des correspondances entre citoyens, autant que la technologie le permet. Mondialement, c'est GOOGLE qui déjà en novembre 2012 déclarait "… des gouvernements ne sont pas favorables à un Net libre et ouvert"… Google s'alarme des vélléités de certains États afin d'accroître le contrôle d’Internet… la rencontre organisée sous l’égide de l'Union internationale des télécommunications (UIT) - institution faisant partie des Nations Unies, n’est autre que la future régulation mondiale d’Internet (1)… (pour plus de détails, voir notre article : La future régulation mondiale du net entre les mains de l'UIT)…
Récemment encore, Google s'inquiète des requêtes gouvernementales (autorités politiques, tribunaux, police,...) dont il est de plus en plus fréquemment saisi. À l’appui des chiffres de son dernier rapport de transparence, le géant de l'internet tente d’alarmer les internautes sur « la manière dont les gouvernements peuvent parfois freiner les flux d’informations qui circulent sur Internet ».
Régulièrement l’objet de requêtes gouvernementales visant au déréférencement de certains contenus ou à la divulgation d’informations concernant ses utilisateurs, Google propose aux internautes de consulter librement depuis 2010 les détails relatifs à ces demandes dont il est saisi. Dans un billet publié hier sur son blog officiel, le géant de l'internet a annoncé que les informations concernant les six premiers mois de l’année 2012 venaient d’être mises en ligne sur sa plateforme dédiée, le Google Transparency Report.".
EN FRANCE, LA MINISTRE FLEUR PELLERIN N'EST PAS EN RESTE DE SURVEILLANCE DES INTERNAUTES:
"Le 22 janvier dernier, la députée écologiste Isabelle Attard interrogeait la ministre déléguée à l’Économie numérique, Fleur Pellerin, sur l’utilisation du Deep Packet Inspection (DPI) par les opérateurs de télécommunications français. L’élue voulait savoir si ces technologies permettant d’analyser finement les paquets transmis au travers des réseaux avaient été étudiées, expérimentées, voire utilisées par des FAI français, et si oui, lesquels. Le gouvernement était au passage sommé de détailler ce qu’il comptait faire pour empêcher ces pratiques, jugées très alarmantes par la parlementaire. « Ces technologies pouvant servir à censurer ou à mettre sous surveillance des citoyens, hors de toute procédure judiciaire, il serait particulièrement dangereux pour notre démocratie que des opérateurs privés les utilisent sur les réseaux français » écrivait ainsi Isabelle Attard…".
"Voilà les deux principales questions auxquelles devait répondre la ministre déléguée à l’Économie numérique, Fleur Pellerin. Cette dernière a cependant botté en touche sur la première, et s'est contentée de dire qu’elle ferait appliquer les lois et dispositions règlementaires actuellement en vigueur sur la seconde.
Sans répondre aux premières interrogations d’Isabelle Attard, la ministre se borne à affirmer que « les pouvoirs publics ne manqueraient pas de saisir les juridictions compétentes » au cas où « des projets ou agissements contrevenant aux dispositions législatives et réglementaires en vigueur étaient portés à leur connaissance ». Un beau geste de la République que de signaler à la justice des faits ou agissements contraires à ses lois... "
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(1) Réunion à Dubaï en décembre dernier, à laquelle Fleur Pellerin participait.
JC
CHASSAING Jacques- Messages : 107
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Localisation : Saint-Etienne
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