RETRAITES:le hold-up du siècle
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RETRAITES:le hold-up du siècle
RETRAITES:le hold-up du siècle
La commission est à nouveau réunie à Paris pour continuer le pillage des retraites. Le plan prévoit de retarder encore l'âge de départ à 62-65-67 ans. Objectif : plus tard = plus de morts = moins de pensions à verser. La forfaiture ira jusqu'à exiger davantage encore de trimestres cotisés et validés. Objectif : même l'âge atteint, le nombre d'années ne le sera pas. Pour faire accepter cette spoliation, les gouvernants agitent l'épouvantail de la baisse des pensions en entretenant la confusion sur celles actuelles et celles à venir. Bingo! Car, du plus pauvre au plus riche retraité, personne n'est évidemment d'accord.
A la manoeuvre en haut-lieu, les politiciens multi-cumulards d'avantages présents et futurs, les pontes corrompus des centrales syndicales bien scellées dans le secteur public dont les droits à la retraite sont précocement acquis et le COR, de qui on attendrait surtout des propositions en matière de retraite à 60 ans pour tous, la suppression du cumul des pensions éhontées et celles des retraites chapeau. Toute autre discussion stérile est indécente car, si le choix de travailler plus longtemps peut se comprendre pour des salariés qui excercent un métier passionnant et rémunérateur, il en va tout autrement des travailleus qui ont débuté très tôt dans un monde professionnel dur. Beaucoup se trouvent aujourd'hui dans la situation de galérer dans des petits boulots, souvent à temps partiel de contrats aidés et payés moins de 1000 €/mois. Entre deux périodes de CDD, ils perçoivent entre 500 et 800 €/mois de l'Assedic. C'est à dire, dans les deux cas, bien moins que la pension qui leur est dûe avant la razzia opérée par le gouvernement de "droite" et aggravée par celui de "gauche". Bonnet blanc et blanc bonnet. L'Assedic paie donc et paiera, non seulement, en lieu et place des caisses de retraites pour lesquelles ces générations ont cotisé toute leur vie au nom du principe de répartition qui leur apparaît aujourd'hui comme une fumisterie.
En somme, une flopée de nantis, prétend, via le Parlement, interdire à la masse plus nombreuse de consacrer enfin à ses convenances personnelles la dernière période de sa vie. Ce qui se traduit par de multiples et ultimes privations matérielles et humaines. Voici représentée en l'espèce le grand idéal PS aux pouvoirs, pour qui toute régression est un progrès.
A chacun de bien comprendre que les dernières bonnes années espérées de sa vie leurs seront ainsi volées. De quoi vouloir en découdre farouchement pour cette question de vie ou de mort. Et nous en découdrons. JC
La commission est à nouveau réunie à Paris pour continuer le pillage des retraites. Le plan prévoit de retarder encore l'âge de départ à 62-65-67 ans. Objectif : plus tard = plus de morts = moins de pensions à verser. La forfaiture ira jusqu'à exiger davantage encore de trimestres cotisés et validés. Objectif : même l'âge atteint, le nombre d'années ne le sera pas. Pour faire accepter cette spoliation, les gouvernants agitent l'épouvantail de la baisse des pensions en entretenant la confusion sur celles actuelles et celles à venir. Bingo! Car, du plus pauvre au plus riche retraité, personne n'est évidemment d'accord.
A la manoeuvre en haut-lieu, les politiciens multi-cumulards d'avantages présents et futurs, les pontes corrompus des centrales syndicales bien scellées dans le secteur public dont les droits à la retraite sont précocement acquis et le COR, de qui on attendrait surtout des propositions en matière de retraite à 60 ans pour tous, la suppression du cumul des pensions éhontées et celles des retraites chapeau. Toute autre discussion stérile est indécente car, si le choix de travailler plus longtemps peut se comprendre pour des salariés qui excercent un métier passionnant et rémunérateur, il en va tout autrement des travailleus qui ont débuté très tôt dans un monde professionnel dur. Beaucoup se trouvent aujourd'hui dans la situation de galérer dans des petits boulots, souvent à temps partiel de contrats aidés et payés moins de 1000 €/mois. Entre deux périodes de CDD, ils perçoivent entre 500 et 800 €/mois de l'Assedic. C'est à dire, dans les deux cas, bien moins que la pension qui leur est dûe avant la razzia opérée par le gouvernement de "droite" et aggravée par celui de "gauche". Bonnet blanc et blanc bonnet. L'Assedic paie donc et paiera, non seulement, en lieu et place des caisses de retraites pour lesquelles ces générations ont cotisé toute leur vie au nom du principe de répartition qui leur apparaît aujourd'hui comme une fumisterie.
En somme, une flopée de nantis, prétend, via le Parlement, interdire à la masse plus nombreuse de consacrer enfin à ses convenances personnelles la dernière période de sa vie. Ce qui se traduit par de multiples et ultimes privations matérielles et humaines. Voici représentée en l'espèce le grand idéal PS aux pouvoirs, pour qui toute régression est un progrès.
A chacun de bien comprendre que les dernières bonnes années espérées de sa vie leurs seront ainsi volées. De quoi vouloir en découdre farouchement pour cette question de vie ou de mort. Et nous en découdrons. JC
CHASSAING Jacques- Messages : 107
Date d'inscription : 07/05/2013
Age : 68
Localisation : Saint-Etienne
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